Demander une adaptation

L’illustration vous plait mais certains aspects ne conviennent pas tout à fait : le format, l’orientation, les couleurs, des éléments en trop ou absents,… Et bien, pas de problème, à peu près toutes les adaptations sont réalisables. Il s’agit alors d’une prestation graphique, tarifée à un coût horaire, qui s’ajoute au droit d’auteur.

Lors d’un contact en toute simplicité, par tél/fax +32 80 64 32 08 , mob. +32 475 33 71 24, aster[arob.]dessindepresse.com, ou via Facebook « Dessinateur Aster, faites-moi part de vos souhaits et indiquez la référence de l’illustration (6 derniers caractères du nom), décrivez-là ou joignez-là à votre mail.

Précisez chaque usage envisagé, à savoir :
1) la nature (imprimé ou numérique) et le type de support : magazine, affiche, brochure, dépliant,… ou newsletter, Intranet, présentation PWP,…
2) Le format du support : A2, A3, A4, A5, A6,… et la taille de publication du dessin
3) le tirage (le nombre d’exemplaires, d’abonnés, de spectateurs)
4) l’aire de diffusion (régionale, nationale, globale ; un ou plusieurs sites ou évènements, …)
5) le cas échéant, les différentes langues.

Indiquez vos coordonnées complètes et l’adresse de facturation. Si vous êtes un assujetti, n’oubliez pas d’écrire votre numéro de TVA intracommunautaire, sans quoi le prix sera grevé d’une taxe belge de 21% sur la partie prestation graphique et de 6% sur la partie droit d’auteur.

Vous recevez ensuite un devis/bon de commande qui indique distinctement le montant de la prestation graphique et le coût du droit d’auteur. Une fois le bon de commande signé ou le feu vert donné par téléphone, l’illustration est finalisée dans les meilleurs délais. Je vous présente alors un aperçu du dessin terminé, accompagné de la facture d’une invitation à payer par virement bancaire (pas de chèque !)

Aussitôt le paiement reçu, vous recevrez l’illustration en bonne définition accompagné de la facture acquittée, le seul document valable qui légalise et délimite la cession des droits.

En théorie, l’adaptation d’une illustration la rend inédite. Mais gardons du bon sens : plus les changements sont mineurs, plus elle conserve son caractère d’œuvre réutilisée et les droits ont tendance à demeurer des droits de réutilisation (donc, modérés). A l’inverse, si la modification est conséquente, le visuel tend à perdre son caractère d’œuvre déjà existante et le coût des droits de reproduction se rapprochent du coût d’une première utilisation d’une œuvre inédite.

Sauf en cas de cession intégrale de tous les droits de reproduction, les illustrations ne peuvent faire l’objet d’autres utilisations que celles décrites sur la facture. L’auteur ne cède jamais la paternité de ses œuvres et reste seul dépositaire des droits moraux y afférant. Sauf autorisation expresse, on ne peut les modifier, les publier sans signature, ni les céder à des tiers. Enfin, ni l’exclusivité des droits, ni le dessin original correspondant (réalisé à la main), ne sont acquis de facto.